Articles taggés avec ‘Stéphane Guillon’

Ils sont nés un 6 décembre

Mercredi 6 décembre 2023

Philippe Pierre Bouvard

Le journaliste français, humoriste et présentateur de télévision et de radio Philippe Pierre Bouvard, est né le 6 décembre 1929 à Coulommiers. Il est également écrivain, auteur de théâtre et dialoguiste au cinéma.

Stéphane Guillon

L’humoriste et acteur français, Stéphane Guillon, est né le 6 décembre 1963 à Neuilly-sur-Seine. Il s’est fait connaître, à partir des années 2000, pour ses chroniques, sur Canal+ ou encore France Inter.

Martin Hirsch, né le 6 décembre 1963 à Suresnes, est un haut fonctionnaire français. Directeur général de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris du 13 novembre 2013 au 30 juin 2022,

Mélinée Manouchian

Mélinée Manouchian, née le 13 novembre 1913 à Constantinople et morte le 6 décembre 1989 à Fleury-Mérogis, est une immigrée résistante d’origine arménienne, devenue française à la Libération. Veuve du héros de l’Affiche rouge Missak Manouchian, elle en est le premier et principal biographe.

Joyeux anniversaires

Samedi 6 décembre 2014

Le journaliste français, humoriste et présentateur de télévision et de radio Philippe Pierre Bouvard, est né le 6 décembre 1929 à Coulommiers. Il est également écrivain, auteur de théâtre et dialoguiste au cinéma.

L’humoriste et acteur français, Stéphane Guillon, est né le 6 décembre 1963 à Neuilly-sur-Seine. Il s’est fait connaître, à partir des années 2000, pour ses chroniques, sur Canal+ ou encore France Inter.

Le coureur cycliste espagnol Alberto Contador, est né le 6 décembre 1982 à Madrid.

Aujourd’hui c’est leur anniversaire

Vendredi 6 décembre 2013

Stéphane Guillon est né le 6 décembre 1963

Le cycliste espagnol Alberto Contador est né le 6 décembre 1979

Let’s Recap… récapitulons

Dimanche 27 juin 2010

Alors là, ça ne rigole plus…du tout !

Jeudi 24 juin 2010

jean-luc-hess

A France Inter, radio publique dit-on, nous sommes de plus en plus privé de tout, mais surtout d’Humour ! Le fait de : “Vous trouvez ça drôle!” ou pas, est un faux vrai débat. Rire à mots couverts ou à mots nus et crus du pouvoir, est un des fondamentaux de toute démocratie digne de ce nom. Il y a dans notre société les chargés de communication des arcanes du pouvoir et les chargés de faire rire les gens d’en bas. Ces derniers sont essentiels, sont même indispensables, pour ne pas dire vitaux. On pourrait aussi les nommer, les soupapes de sécurité de la pensée politique ambiante.

Mais c’est maintenant un fait avéré, on n’a pas le droit, bientôt plus le droit, de rire ou de sourire de nos élus. Cela glace la moelle épinière de notre démocratie, parce que l’on peut bien évidemment se  demander:  nos politiques sont encore élus, mais jusqu’à quand ? Une question extrêmement sérieuse pourrait être posée : Peut-on ou doit-on élire nos humoristes ?

stephane-guillon

Faut-il qu’ils soient pour cela, encartés, surveillés et manipulés pour être éligibles et qu’ils puissent après nous faire rire ? Sorte de rire aseptisé à 3,95 ? Nous sommes bien obligés de nous faire à cette nouvelle raison d’État, l’Humour n’a plus de droit dans notre Cité.  Quand nous nous taxons, à la face rubiconde du monde entier, comme le pays de la liberté, nous n’aurons bientôt plus, que le droit de grincer des dents. Être l’avocat du diable qui se rit de tout, est une noble cause dans une démocratie qui s’affiche ostensiblement comme l’héritière directe de la Grande Révolution.

jean-yanne

Non tout le monde n’est pas beau
tout le monde n’est pas gentil !

Le pays qui a su proclamer les droits de l’Homme, vient à ce jour d’inscrire un alinéa qui change foncièrement et irrévocablement  la donne. Tout Homme qui fait rire ses congénères à propos des hommes du pouvoir sera embastillé, ou mieux viré. Les humoristes ne sont pas des hommes ordinaires, certes, ce sont des contre-poissons ,des anti-coups. C’est certainement pour cela que sur les ondes de  France Inter, notre radio publique, nous sommes dorénavant et jusqu’à désormais privé de rire matinal, ne serait-ce que les 5 min jusqu’à présent gracieusement accordées. Tout cela en raison pour cause de crime de lèse- majesté ! Comme la peine de mort est abolie, dorénavant c’est la privation de son droit au travail qui sévira. C’est la  sanction suprême et sans appel dans un pays qui compte pas moins de millions de chômeurs ordinaires.

Mais  attention ! Vous n’avez ni le droit ni le loisir de rire ou de sourire de cet article, sous peine que je sois viré,  ainsi va et se dessine notre Avenir !

Même” Porte” à la porte je ne l’oserai pas ! ou plus…

Mais de qui se moque-t-on ?

Mardi 13 avril 2010

jean-luc-hess Quand Jean-Luc Hess affirme : “Je ne suis pas censeur. Quelle sottise !” Nous voulons bien le croire sur parole, mais alors pourquoi lance-t-il un pavé dan la mare aux canards en déclarant : “L’attaque sur les aspects physiques d’une personne est intolérable.” Cette fin de non recevoir du président de Radio France, suite au différent entre Besson et Guillon, tire un trait sur une tradition aussi vieille que le monde. A ce titre nous comprenons mieux que l’art de la caricature soit mise au banc de la société, qu’elle n’ait plus droit de cité que dans de trop rares journaux. Interdira-t-on bientôt toute caricature ? L’humour va-t-il être rangé auprès du poil à gratter dans les placards de la bien séance sous prétexte que l’humour a des frontières, celles que les politiques peuvent tolérer. Un bon humoriste est un humoriste comme tout bon artiste mort. “Desproges, lui au moins il était drôle” lance-t-il comme pour se justifier. Nous sommes dans l’ère du porter plainte pour tout et rien. On pèse les dérapages verbaux faute de pouvoir censurer un trait d’humour graphique en perdition. Jean-Luc Hess limiterait bien le principe fondamental et républicain de la liberté de penser, de se moquer, de caricaturer l’autre, parce que notre société frileuse n’est plus capable de l’accepter.

Radio France, Guillon sans garde-fou, le PDG saute

Lundi 6 avril 2009

stephane-guillonJean-Paul Cluzel, ex PDG de Radio France, s’explique : “Je l’ai vu trop rarement…pour lui faire la leçon?…Que tout Radio France tourne autour de Stéphane Guillon,  je veux bien mais…” Il semble convenir que les rubriques acides du chroniqueur ont joué un rôle déterminant dans son éviction. Mais élégant, Cluzel refuse qu’on résume l’affaire ainsi. “Mon sucesseur, Jean-Luc Hees qui est journaliste, trouvera les règles de l’humour, hein? ” La mise en garde pour l’humoriste est à peine cryptée. La question est : Peut on rire de tout dans le service Publique? La liberté, consiste à faire tout ce permet la longueur de la chaîne, comme l’a dit Cavanna. Ce n’est pas nouveau que l’on est l’humour de son rédacteur en chef ! Que Guillon brocarde Dominique Strauss-Kahn ou Martine Aubry cela reste des opposants , mais qu’il s’en prenne au Président c’est une autre histoire. L’Elysée n’a pas transigé à cette provoc’ de trop du 1er avril. Raymond Devos  l’avait dit ” Le rire est une chose sérieuse avec laquelle on ne plaisante pas.”  Guillon a franchi la ligne jaune, un fusible saute, le PDG Jean-Claude Cluzel paye cash cette entourloupe. C’est un fait  indégniable, Nicolas Sarkozy a bien une politique révolutionnaire, parce qu’à l’évidence  les têtes tombent.