Articles taggés avec ‘Ségolène Royal’

Elle est née un 22 septembre

Dimanche 22 septembre 2024

Ségolène Royal

La femme politique française, membre du Parti socialiste, Marie Ségolène Royal, dite Ségolène Royal, est née le 22 septembre 1953 à Ouakam dans la région de Dakar2,3 (Sénégal, alors partie de l’Afrique-Occidentale française).

Benoît Poelvoorde, né le 22 septembre 1964 à Namur, est un acteur et humoriste belge. Révélé durant les années 1990 par le film culte belge C’est arrivé près de chez vous, la série humoristique …

Emmanuel Petit

Emmanuel Petit, né le 22 septembre 1970 à Dieppe, est un footballeur international français. Il évolue au poste de milieu récupérateur et parfois comme défenseur central ou arrière gauche de 1988 à 2004.

Ronaldo

Ronaldo Luís Nazário de Lima, dit Ronaldo, né le 22 septembre 1976 à Bento Ribeiro, un quartier de Rio de Janeiro, est un footballeur international brésilien, qui évoluait au poste d’avant-centre. Il commence sa carrière professionnelle au Brésil, à Cruzeiro, avant de partir ensuite pour l’Europe et le PSV Eindhoven.

Elle est née un 22 septembre

Dimanche 22 septembre 2019

Ségolène Royal

La femme politique française, membre du Parti socialiste, Marie Ségolène Royal, dite Ségolène Royal, est née le 22 septembre 1953 à Ouakam dans la région de Dakar2,  (Sénégal, alors partie de l’Afrique-Occidentale française).

Elle est née un 22 septembre

Mardi 22 septembre 2015

Ségolène Royal

La femme politique française, membre du Parti socialiste, Marie Ségolène Royal, dite Ségolène Royal, est née le 22 septembre 1953 à Ouakam dans la région de Dakar2,3 (Sénégal, alors partie de l’Afrique-Occidentale française).

Valls1

Jeudi 3 avril 2014

Voici le nouveau gouvernement Valls 1 où pour l’instant seuls les ministres ont été nommés.

Laurent Fabius: Ministre des Affaires étrangères et du développement international

Bernard Cazeneuve: Ministre de l’Intérieur

Ségolène Royal: Ministre de l’Ecologie, du développement durable et de l’Energie

Benoît Hamon: Ministre de l’Education, de l’enseignement supérieur et de la Recherche

Christiane Taubira: Ministre de la Justice, Garde des Sceaux

Michel Sapin: Ministre des Finances et des comptes publics

Arnaud Montebourg: Ministre de l’Economie, du Redressement productif et du numérique

Marisol Touraine: Ministre de Affaires sociales

François Rebsamen: Ministre du Travail, de l’Emploi et du dialogue social

Jean-Yves Le Drian: Ministre de la Défense

Najat Vallaud-Belkacem: Ministre des Droits des Femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports

Marylise Lebranchu: Ministre de la Décentralisation, réforme de l’Etat

Aurélie Filippetti: Ministre de la Culture et de la Communication

Stéphane Le Foll: Ministre de l’Agriculture, de l’Agro-alimentaire et de la Forêt, porte-parole du gouvernement

Sylvia Pinel: Ministre du Logement et de l’Egalité des territoires

George Pau-Langevin: Ministre des Outre-Mer

Les grands recalés… où la loyauté remerciée pour deux poids lourds du gouvernement précédent

Vincent  Peillon mais aussi Pierre  Moscovici
Enfin Cécile Duflot qui avait annoncé qu’elle ne souhaitait pas cohabiter avec Manuel Valls mais qui a joué perso en bloquant l’entrée des Verts au gouvernement
Après elle le déluge…Ce qui fait l’affaire de Ségolène Royal qui reprend le poste et fait son retour après une longue traversée du désert.

Ségo le retour

Jeudi 21 février 2013

Dans la série on reprend toujours les mêmes et on recommence, après Anne Lauvergeon et jean-Claude Trichet chez EADS,  Jack Lang nommé directeur de l’Institut du Monde Arabe à la dérive, voilà Ségolène Royal qui devient vice-présidente et porte-parole de la toute nouvelle BPI (Banque Publique d’Investissement). Il faut dire que depuis que la gauche est au pouvoir Ségolène a pas mal trinqué, en particulier en ratant une place de député à la Rochelle et du même coup le perchoir. Chacun son hochet ou son os à ronger, il ne faut pas décevoir les siens et placer ces pions, une politique qui n’est ni de gauche ni de droite mais  générale et attendu.  La présidente régionale de PoitouCharente  déclare :”Je suis heureuse de pouvoir être utile [...]. J’ai préfiguré cette banque publique dans ma région, je sais que ça marche”. Après le refus du ministère de la Justice et la direction du l’Institut du Monde Arabe, voilà le grand retour sur la scène médiatique et politique après une véritable quarantaine.  Ségolène nous la joue à la Beckam en déclarant que cette fonction ne sera pas rémunérée. Peut-on y croire et que cela cache-t-il ? Peut-on imaginer que ce poste ne soit qu’un tremplin ? L’avenir nous l’apprendra certainement sous peu.

L’université d’été du PS se fera-t-elle sans Ségolène ?

Vendredi 24 août 2012

L’université d’été PS est partie. En effet conformément à son rituel, le PS organise chaque année son université d’été à la Rochelle. Mais voilà cette ville, contre toute attente, fut cette année le siège d’un combat fratricide, entre un leader historique du parti, une éléphante délicatement parachutée et un élu local pur sucre. Ce dernier, dissident  PS pour l’occasion,  a fini par avoir la peau du parti et de son choix. Un tweet de bon augure de Mme la nouvelle Présidente avait signé la mise à mort de l’ex madame Hollande, mère de ses enfants. La Rochelle fut donc le théâtre consommé d’une tragédie hollandaise et les cendres de la défaite fument encore en cette rentrée politique aux marches du vieux Port. Bien entendu je fais référence au duel Royal /Falorni ,  qui s’est soldé par la déroute de l’ex candidate à la présidence de 2007, 63% à 37 .Quelle descente en enfer, quel camouflet pour Ségolène qui a dû capituler et se retirer de la scène politique nationale blessée à mort. Elle a tout perdu, y compris son rêve d’accéder au perchoir tant attendu. Mme Royal avait donc prévenu que l’université d’été à la Rochelle cette année se ferait sans elle. Il va  falloir au PS beaucoup d’imagination pour laver l’opprobre. Mais en fait une des principales qualités de nos chers politiques n’est-il pas l’amnésie totale ou partielle quand la nécessité impérieuse de rebondir se présente ? Laissons passer les jours et coule sous le pont la Seine, en attendant quelques nouvelles désopilantes.

Claude Bartolone au perchoir

Samedi 23 juin 2012

Ils étaient quatre anciens ministres a à prétendre à l’investiture du PS à la présidence de l’Assemblée Nationale. Claude Bardolone, 60 ans, député de Seine Saint-Denis obtient 127 voix sur 258 votants et dès le premier tour n’était qu’à trois voix de la majorité absolue. Jean Glavany a obtenu 59 voix, Elisabeth Guigou  5O voix et Daniel Vaillant 22 voix. Pour montrer l’unité du parti, Jean Glavany mais aussi les autres prétendants se sont retirés évitant de fait un second tour. De ce fait Claude Bartolone est devenu jeudi au terme de cette élection du groupe PS à huit clos assuré de devenir le nouveau titulaire du perchoir de l’Hôtel Bourbon. Ségolène Royal qui aspirait à ce poste avant d’être battue au deuxième tour des législatives à la Rochelle a envoyé un Tweet au nouvel élu pour l’encourager. Il y a eu encore une fois une petite réserve en regrettant que ce ne soit pour une fois pas une femme qui obtienne cette fonction. C’est certainement aussi pour ça que l’Élysée, le premier ministre, mais aussi la direction du parti auraient tenté de convaincre la ministre de la Réforme de l’État Marylise Lebranchu, plus apprécié de ses collègues de se présenter à ce poste, mais cette dernière a décliné cette offre. Dernière nomination de la journée Bruno le Maire , étant le seul candidat, est élu “par acclamation”nouveau président du groupe PS, succédant au premier ministre Jean-Marc Ayrault. Voilà pour Claude Bardolone, ce proche de Aubry, un beau concours de circonstances avec ces deux verrous en jupons qui ont sauté,  devenant ainsi le 4e personnage de la France alors qu’il y a peu, personne n’aurait misé sur lui.

La grande débandade

Mercredi 20 juin 2012

François Bayrou, âgé de 61 ans, député depuis 1986 a certainement payé cash sa dernière prise de position lors des présidentielles. Le leader du Modem obtient 30,17 % des suffrages, loin derrière la socialiste Nathalie Chabanne, qui gagne cette triangulaire à Pau avec 42,78 % et ira siéger à sa place au Palais Bourbon. Il déclare : « Quand on se heurte à une incompréhension, il faut réfléchir, prendre de la distance ». Année sombre pour celui qui se veut toujours et encore combattif.

Les stars du sarkozysme sanctionnées

Nadine Morano n’obtient que 44,33% des voix, contre 55,67% au socialiste Dominique Potier malgré tous ses calculs et ses rapprochements avec le FN. Cette Sarkozy en jupons déclare tout comme le fit Ségolène Royal en d’autres lieux : “J’ai subi de l’acharnement. Je garde des l’amertume contre les coups tordus”. Elle vise bien entendu par là, pas le Tweet mais la fausse interview de Gérard Dahan qui s’est fait passé pour le numéro 2 du FN. Elle compte portez plainte contre l’humoriste qu’elle taxe de militant socialiste.

Claude Guéant chute dans le 9e circonscription des Hauts de Seine à Boulogne-Billancourt où il n’obtient que 38,41%, contre 39,35% pour le dissident de droite, Thierry Solère. Son challenger ironise face à l’échec de l’éminence grise de l’ancien Président qui était arrivé en tête au premier tour en lançant :

“En démocratie on est pas nommé on est élu.”

Frédéric Lefèvre ancien porte-parole de l’Elysée s’est incliné devant Corinne Narassiguin (PS)

Michèle Alliot-Marie est battue dans la 6e circonscription des Pyrénées- Atlantiques, où elle était élue depuis plus de 25 ans, par la socialiste Syviane Alaux qui recueille 51,62% des voix.

Georges Tron, député UMP sortant, est sévèrement battu sur la 9e circonscription de l’Essonne. Avec 43,2% des voix, l’ancien secrétaire d’Etat est devancé par le maire socialiste de Ris-Orangis Thierry Mandon (56,8% des voix), franchement ce n’est pas le pied.

L’UMP au lendemain de la débandade prend acte de cette deux!ème défaite consécutive. Déjà de nombreux voix s’élèvent pour associer cette nouvelle défaite à la dérive droitière de leur parti on ne peut plus dans l’opposition, puisque tous les leviers sont maintenant entre les mains de la gauche.

La France voit la vie en rose

Mardi 19 juin 2012

Alors que la gauche se réjouit et que le PS a lui seul a réussi à avoir la majorité absolue à l’assemblée, deux éléphants, à qui les parachutages n’ont rien valu, disparaissent de l’Assemblée Nationale. Tout d’abord Ségolène Royal pour qui ce fut à la Rochelle une véritable descente aux enfers. Arrivant au premier tour en tête, elle subit second un véritable camouflet face à Olivier Falorni dissident PS qui s’est maintenu et la emporté avec près de 63% des voix. Adieux, veaux, vaches, cochons et perchoir, Ségolène Royal voit ses projets contrariés et Mme Royal a succombé au “tout sauf Ségolène”. Elle parle de trahison politique et assure qu’elle n’a pas encore dit son dernier mot. Viserait-elle maintenant la place de Martine Aubry ? Ce n’est pas encore fait parce qu’il y aura encore certainement contre elle de nombreuses nuits des longs couteaux. On est jamais si bien trahi que par les siens. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, la bataille pour le perchoir s’est d’ors et déjà engagée. Une autre femme, Elisabeth Guigou ancienne garde des sceaux, sort de l’ombre, sans compter Jean Glavany ou Claude Bartolone.

Jack Lang avait choisi les Vosges et les Vosges n’en n’ont pas voulu. Même si son score est plus honorable, il obtient 49, 12 %  ce n’est pas suffisant pour ce parachuté qui perd la partie dans la 2e circonscription face à Gérard Cherpion UMP. Il semble qu’au PS aussi une page se tourne  et que cette fois ci le Palais Bourbon ne soit plus autan,t un cimetière aux éléphants. Les 234 nouveaux élus, soit 40%, rajeunissent l’Assemblée Nationale et la féminise avec 155 femmes, un record,  dont les plus nombreuses sont au PS. Le PS a réussi le grand chelem en étant à l’ÉLysée, majoritaire au Sénat, à l’Assemblée Nationale  mais aussi dans les régions. Après avoir obtenu la confiance totale des électeurs, il reste maintenant à engager le plus dur des combats, ne pas décevoir. Face à une crise omniprésente, la partie sera serrée puisque c’est toujours au pied du mur que l’on voit le mieux le mur.

Un couactweet assumé

Jeudi 14 juin 2012

Le mélange des genres ne fait pas bon ménage, et le tweet de la première dame de France a tout d’abord jeté un froid avant d’être rapidement suivi d’une levée de boucliers. Il est évident que son tweet de soutien à Olivier Falorni, dissident du PS et adversaire de Ségolène Royal aux législatives de La Rochelle peut être interprété comme un règlement de comptes entre les deux femmes, mais cela parait peu probable. Ce qui a priori semble avoir le plus agacé la première dame de France, c’est le parachutage  d’une éléphante du PS et que l’on demande le retrait du candidat naturel. De ce fait, elle trouve cela injuste, puisqu’il fut toujours un soutien fidèle à François Hollande, et voulait le faire savoir. Si ce Tweet n’avait pas eu d’importance, elle aurait envoyé un simple sms de soutien à Falorni .  Elle tenait certainement par cette prise de position à marquer aussi son indépendance comme elle l’a fait en décidant de continuer son travail de journaliste et rappeler qu’elle était  toujours une femme libre.  Ce tweet c’est évidemment à cette période l’embarras de la gauche, mais aussi l’agacement avec son lot de déclarations qui anime les médias. Pour la droite  c’est un tweet béni qui permet de faire diversion et oublier, autant que faire se peut, les appels de Nadine Morano et d’autres députés UMP aux voix du FN, ses propres dissidents et ses parachutages. Même si François Hollande  a organisé la riposte en faisant diffuser que ce Tweet n’engageait que Valérie Trierweller à titre personnel et qu’un recadrage est venu de la voix du premier ministre,  la droite voudrait bien avoir un éclaircissement sur le statut de la première dame de France. Couac, bévue, faute, courage, peu importe, voilà un tweet qui laisse dubitatif quant à ses réactions médiatiques même si tout compte fait il  a valu à Valérie Trierweller 20 000 abonnés de plus sur son micro blogigng,  dépassant à ce jour celui de Ségolène Royal…