Articles taggés avec ‘Roschdy Zem’

il est né un 28 septembre

Samedi 28 septembre 2024

Éric Ciotti

Éric Ciotti, né le 28 septembre 1965 à Nice, est un homme politique français. Il est président des Républicains depuis décembre 2022, député de la première circonscription des Alpes-Maritimes

Fernand Raynaud

Fernand Raynaud est un artiste comique de scène français né le 19 mai 1926 à Clermont-Ferrand et mort le 28 septembre 1973 au Cheix-sur-Morge. Fernand Raynaud compte parmi les artistes comiques les plus connus de France dans les années 1950 et 1960.

Brigitte Bardot

Brigitte Bardot, également connue sous les initiales de « BB », née le 28 septembre 1934 à Paris, est une actrice, mannequin, danseuse, chanteuse, militante des droits des animaux et écrivaine française.

Sylvia Kristel

Sylvia Kristel, née le 28 septembre 1952 à Utrecht et morte le 17 octobre 2012 à Amsterdam, est une actrice et mannequin néerlandaise. Elle est surtout connue pour avoir incarné à douze reprises le rôle-titre de la série érotique Emmanuelle entre les années 1970 et 1990.

Shimon Peres

Shimon Peres, né Szymon Perski le 2 août 1923 à Wiszniew et mort le 28 septembre 2016 à Ramat Gan, est un homme d’État israélien. Il est Premier ministre d’Israël en 1977, de 1984 à 1986 et de 1995 à 1996, et président de l’État d’Israël de 2007 à 2014.

Gamal Abdel Nasser

Gamal Abdel Nasser Hussein, né le 15 janvier 1918 à Alexandrie et mort le 28 septembre 1970 au Caire, est un homme d’État égyptien. Il fut le second président de la République de 1956 à sa mort. Après une carrière militaire, il organisa en 1952 le renversement de la monarchie et accéda au pouvoir.

Roschdy Zem

Roschdy Zamzem, dit Roschdy Zem, né le 28 septembre 1965 à Gennevilliers, est un acteur, réalisateur et scénariste franco-marocain. En 2020, Roschdy Zem reçoit le César du meilleur acteur pour le film Roubaix, une lumière.

Georges Clemenceau

Georges Clemenceau, né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds et mort le 24 novembre 1929 à Paris, est un homme d’État français, président du Conseil de 1906 à 1909 puis de 1917 à 1920.

Omar m’a tuer au cinéma

Mercredi 22 juin 2011

Voici la caricature réalisée à l’époque de l’affaire Omar Raddad

Ce film était en gestation depuis des années et c’est Rachid Bouchared qui devait le réaliser, mais trop occupé,  il s’est contenté d’écrire le scénario avec Olivier Lorelle et de le produire. C’est l’acteur Roschdy Zem à qui l’on avait  proposé le rôle d’Omar qui finalement a choisi plutôt que jouer de diriger ici son deuxième film. Pour le rôle du Jardinier, héros de l’histoire,  il a tout de suite pensé à Sami Bouajila. Une affaire complexe et pas encore éclaircie. Omar Raddad est suspecté puis rapidement accusé d’avoir tué le 24 juin 1991, Ghislaine Marchal une riche veuve de 65 ans, qui aurait écrit avec son sang  sur la porte de la cave “Omar m’a tuer”. En 1994, le jeune jardinier Marocain Omar est condamné à 18 ans de réclusion criminelle. En 1996 Jacques Chirac décide de le gracier et c’est en 1998 qu’il sort définitivement de prison. Cependant au yeux de la loi il reste coupable. Le tournage s’est fait dans des lieux authentiques après une minutieuse enquête et la rencontre avec les principaux intéressés, Omar Raddad et Jacques Vergès mais aussi Maître Henri Leclerc, le défenseur de la partie civile.Voilà une originale manière de revisiter un procès au dossier bâclé comportant de grosses irrégularités  mais qui a fait d’un immigré un ennemi public aspiré par l’énorme machine médiatico-judiciaire. Le “happy end” eut été la reconnaissance officielle de son innocence, mais Omar Raddad attend toujours la révision de son procès.

Hors la loi, pomme de discorde franco-algérienne à Cannes

Samedi 22 mai 2010

 

 

djamel-debouze

Tapis rouge pour le couple aussi improbable que glamour, Jamel Debbouze et la ravissante Mélissa Theuriau, qui ont fait leur show lors de la montée des marches pour la présentation du film le plus attendu de la quinzaine. Hors la loi de Rachid Bouchareb retrace sur la période 1930 à 1962 l’histoire d’une fratrie chassée d’Algérie qui survivra aux massacres de Sétif, le 8 mai 1945. Nous retrouvons dans le nouveau film du réalisateur d’Indigènes ceux là même qui triomphèrent au festival de Cannes 2006 en remportant le prix d’interprétation masculine  : Sami Bouajila, Jamel Debbouzze et Roschdy Zem entre autres. Ce film aurait germé dans la tête de son réalisateur lors du montage d’Indigènes. Voilà en quelque sorte le revers d’une médaille, celle de l’histoire d’amour et de haine franco-algérienne. Le thème irrite et fait polémique. Le sujet est épineux, il réactive  un moment délicat de notre histoire de France qui traumatisa toute une génération. Le réalisateur tente de calmer le jeu en affirmant : “Le film n’est pas un champ de bataille, il n’est pas fait pour provoquer des affrontements, il a été fait pour ouvrir un débat dans la sérénité.” Cannes a prouvé pour sa 63e édition, s’il était encore nécessaire, qu’il était un festival qui savait et pouvait aborder les affres de la politique nationale et internationale et en faire son fil rouge. Concluons avec la déclaration utopiste de Rahcid Bouchareb : “Il faut qu’il soit possible que le cinéma aborde tous le sujets.” Il faut avouer que cette année nous avons été plutôt bien servis !