Kate Moss et sa rock and roll attitude
Jeudi 3 septembre 2009Je surfe sur un article que je viens de lire dans Grazia un nouvel hebdo féminin chic qui a déjà beaucoup fait parlé de lui et qui titre sur Kate Moss, what else ! Je rends tout d’abord à Jules ce qui appartient à César en citant mes sources. Cette fois ci, pour changer un peu, je ne présenterai pas votre people préférée du mois d’août 2009 comme d’habitude. Plutôt que de retracer le passé de “la brindille” je vais évoquer ici, peut être son avenir proche. Kate tout le monde le sait a toujours fréquenté les musicos, tout bêtement parce qu’elle bave avec ses millions ou milliards de faire comme eux tout bêtement. Rien à voir avec Carla Bruni Sarkozy me direz vous et pourtant ! La reconversion de la sulfureuse Brindille risque d’être dans la musique, Nicolas Sarkozy étant trop bling bling certainement à son goût, mais elle a tout de même, comme Carla, un passé peuplé d’homme influents, des musicos et peu de politiques. Comme toute anglaise elle a le Rock dans la peau ou sur les os comme vous le voyait. Elle vie et se déchire dans des délires tapageurs avec Johnny Deep avant qu’il fréquente la Paradis. Sa gueule d’ange et celle de Deep ont tout brûlé sur leur passage durant une hydille passionnelle qui continuera avec des bad boys des rockeurs comme elle les aime qui se droguent et boivent comme des trous. Partout où ils passèrent, durant des années, les hôtels furent à remeubler, mais ils avaient les moyens de leurs démesures. On la dit : droguée, anorexique et colérique, elle kife grave Mariane Faithfull, égérie et icône des sixties, qui s’indigne en disant “Elle m’a tout piqué!”. De ce rêve elle veut faire sa réalité et passe à l’attaque. Elle prend des cours de chants, fait copine copine avec Lily Allen avec qui elle a bien l’intention de débuter, quel magnifique tremplin la petite est si gracieusement mal élevée. Elle le veut, et comme tout le monde le sait “ce que femme veut, dieu veut”, souhaitons que le public suive.