Articles taggés avec ‘Nicolas Sarkozy’
Samedi 29 juin 2013
Bernard Tapie a toujours eu un sens profond de la mise en scène et c’est certainement ce qui l’a amené lors de sa carrière à faire du théâtre et du cinéma. On serait tenté de se poser la question : lors de sa vie a-t-il vraiment fait autre chose ? Et bien oui il écrit aussi, et a un sacré sens du timing, puisque son livre sort aux éditions Plon alors que l’homme d’affaire s’affaire pour la quatrième journée consécutive à se justifier face à la brigade financière. Quel talent, il avait déjà écrit ce qu’il allait sans doute dire, et se défend d’avoir coûté un euro au contribuable. L’homme ne manque pas d’air et explique qu’il a rapporté plus que ce qu’on lui a offert lors d’un généreux arbitrage contre le Crédit Lyonnais où il a obtenu en 2008 la 403 millions d’euros. Il n’y a que la foi qui sauve, ou l’aplomb, et il n’en manque pas en déclarant : « Je ne suis pas inquiet, je me demande bien ce qu’ils peuvent trouver ! ». Avec cette publication inattendue, il rend public sa ligne de défense dans laquelle il dédouane totalement l’ancien président Nicolas Sarkozy, affirmant que ce dernier n’esten rien dans la provocation de l’arbitrage. Sacré client le “Nanar”, il nous la joue victime et prévient: ”Une fois de plus je vais me battre. Comme d’habitude”. Inutile pour cela d’écrire un livre, c’est au moins une chose dont nous n’avions jamais douté.
Tags: Bernard Tapie, garde à vue, Nicolas Sarkozy
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Jeudi 23 mai 2013
Omniprésente et peu discrète, voilà que l’ex première dame joue un rôle médiatique important dans l’actualité politique française. Tout un chacun cherche son carnet d’adresse et l’on découvre au grand jour le rôle qu’elle a joué dans l’ombre du Président Chirac, actuellement hors service. C’est elle en fait l’ex éminence grise de Jacquot qui drivait son homme d’une main de fer, du moins c’est à croire. Elle offre d’une main royale son adoubement à NKM pour être la future maire de Paris, et le couple Chirac, en ce qui concerne la mairie de Paris connait bien le fonctionnement de la maison.
Le 22e Président de la République française fut tout de même avant l’accession à la fonction suprême Maire de la Capitale durant 28 ans et “maman” en connait tous les couloirs. Mme Bernadette Chirac est donc mardi venue jouer le coach de NKM et cela est bien entendu une alliée de poids. Pourtant Jacques Chirac, qui déteste “le nain”, se voit doublé par son épouse qui souhaite le retour en 2017 de Nicolas Sarkozy, tellement elle le trouve génial. En effet il le fut puisque pour la première fois sous son mandat, un ex président de la République française, était condamné à 2 ans de prison avec sursis certes, mais tout de même, cela l’a rendu totalement “toc toc”. Ce Président n’était autre que Jacques Chirac lui même qui avait déclaré ouvertement, qu’il allait voter Hollande, ce grand fou. Maintenant il est doublé par “maman” qui a pris les choses en main et joue à visage découvert, le rôle de coach de la droite qu’elle a toujours exercé, tout le monde le sait, c’était un secret de Polichinelle. Reste à savoir, maintenant, si cette adoubement fournira à NKM l’effet escompté ?
Tags: Jacques Chirac, la mairie de Paris, Mme Bernadette Chirac, Nicolas Sarkozy, NKM
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Jeudi 2 mai 2013
Quand on voit l’histoire qui vient de poindre à nouveau à propos de Claude Guéant, juste après l’affaire Cahuzac, on a envie de se dire ou de crier la formule qui circule dans le populo : “Tous pourris”. Aucune voix ne s’élève à cette heure pour défendre l’ancienne imminence grise de Nicolas Sarkozy.
Par contre Roselyne Bachelot s’est lâchée en sortant une formule en forme de poignard dans le dos. Elle a déclaré : Claude Guéant est «soit un menteur, soit un voleur» au Grand D8.
Quant au Président de la République, il vient de déclarer :«J’ai un principe, c’est que les enquêtes doivent suivre leur cours et la justice travailler en toute indépendance et c’est ce principe-là qui nous permet justement de donner aux Français une image différente du passé». Et bien il y a du boulot pour la justice en prévision, voilà enfin une corporation qui sera de plus en plus éloigné de la crise de l’emploi.
Tags: Cahuzac, Claude Guéant, François Hollande, Nicolas Sarkozy, Président de la République, Roselyne Bachelot
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Samedi 13 avril 2013
Le 9 avril Bébel fut fêté pour ses 80 balais. Voilà une paye que l’on ne voit plus celui qui a donné tant de bonheur au travers de rôle et de film souvent populaire. Claude Lelouch qui va certainement le faire tourner dans son film Les Bandits Manchots dit de lui :”Il est resté l’adolescent extraordinaire qu’on aime”. Mais ce n’est pas tout, Jean Pierre Mocky compte bien réunir face à sa caméra le couple mythique Alain Delon et Jean-Paul Belmondo, accompagné de Catherine Deneuve et Jean Reno, une véritable fête au savoir faire du 3ème et 4ème âge. Le monde du spectacle rend hommage à celui qui fort diminué suite à un AVC en 2001, s’est battu avec le concours de son ami de toujours Charles Gérard qui est devenu homme de compagnie, chauffeur secrétaire, et qui l’a aidé à traverser une période très difficile loin des caméras.
Michel Drucker demain lors de son émission Vivement Dimanche lui consacre un coup de chapeau, où L’homme de Rio ou de Neuilly recevra ses amis. A cette occasion l’homme au canapé rouge de France 2 a enregistré une première, un mot de Nicolas Sarkozy, ex maire de Neuilly, qui parlera pour la première fois depuis son départ de l’Elysée.
Donc demain sera une journée Bébel national, une occasion pour les plus jeune de découvrir un grand nom de notre cinéma qui n’a pas dit encore son dernier mot et regarde l’oeil clair et malin, le sourire au lèvres vers l’avenir vers demain.
Tags: Bébel, Claude Lelouch, Jean Paul Belmondo, Michel Drucker, Nicolas Sarkozy
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Jeudi 4 avril 2013
Voilà une affaire en fait qui était un secret de Polichinelle. Si l’on en croit Libération le fiscaliste Philippe Péninque, un proche de Marine le Pen, aurait affirmé : “J’ai bien ouvert un compte à UBS au nom de Cahuzac. Un simple travail d’avocat sans percevoir d’honoraires.” Par ailleurs le transfert des fonds de chez UBS à la banque Reyl fut connu de l’homme de réseau Hervé Dreyfus qui en est un dirigeant, un proche de Nicolas Sarkozy et de son ex-épouse Cécilia. Tout cela semble marchandise mélangée. Comment Jérôme Cahuzac a-t-il pu penser un instant qu’étant membre du gouvernement Ayrault il ne serait pas balancé ?
Il est fort évident que le groupe Médiapart a été informé de source sûre, c’était de l’angélisme de nier. Si pendant un temps Médiapart fut seul contre tous et que Edwi Pleynel semblait prêcher dans le désert, son entêtement montrait déjà qu’ils avaient un dossier béton fourni pas seulement pour descendre Cahuzac mais pour créer un séisme politique dans l’exécutif au moment opportun. Ce qui sort de ça c’est un sentiment de dégoût généralisé sur la classe politique entière et la droite n’a pas à pérorer même si pour l’instant elle semble plus habile dans ses montages financiers. La gauche est certes ébranlée mais tout cela jettera l’opprobre sur les politiques qui prônent le ” faites ce que je dis mais pas ce que je fais”, tous ceux qui se croient et qui pour l’instant ont toujours été au dessus des lois. Après DSK, Cahuzac et bien d’autres, ce château de cartes s’écroule montrant un arrière de la scène plutôt “craignos” où politiques de droites ou de gauches utilisent les mêmes hommes de mains qu’ils soient avocats ou fiscalistes pour planquer leur magot et ne pas payer leurs impôts. Va-t-on un jour Karchériser tout ça ? Pour l’instant c’est la loi du silence, l’omerta des truands de la République à qui l’on confie la clé du coffre, hélas de plus en plus vide.
Tags: Edwi Pleynel, Hervé Dreyfus, Jean-Marc Ayrault, Jérôme Cahuzac, la banque Reyl, Libération, Marine le Pen, Médiapart, Nicolas Sarkozy, Philippe Péninque, UBS
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Mardi 26 mars 2013
Mais qui a bien pu oser ? L’ensemble de l’UMP est outré, mais la garde rapproché crie au crime de lèse-majesté, qu’on l’écartèle tout de suite sans plus tarder. Quel juge en bois brut peut sans sourciller s’en prendre à un ex président qui tentait, du moins par la penser, revenir pour sauver la France de son naufrage. Celui qui était près à ce sacrifier et à renier une parole ,dite à la va-vite sous l’impulsion d’un échec, qui affirmait qu’il ne goûterait plus à son pêcher mignon, la politique. Loin de ce panier de crabes il préférerait vaquer aux affaires et déclamer des conseils judicieux au quatre coins de la planète, à grand renfort de cachets pharaoniques. Le juge Gentil l’est-il vraiment ? A priori non, loin s’en faut . Il s’est forgé loin des médias et des photographes, qu’il fuit comme la peste, une solide réputation de juge incorruptible qui étudie ses dossiers à la loupe. Limite arrogant, il est détesté par ses confrères avocats. C’est en tout cas le cas de l’avocat de Nicolas Sarkozy, Me Herzog qui l’aurait snobé plus ou moins et qui maintenant parle d’un juge partisan. L’ex éminence grise du président UMP, Henri Guaino, va certainement en avoir de ses nouvelles, puisque lors d’une de ses envolés lyriques, a dit que le juge Gentil déshonorait la justice. Ce dernier compte bien l’attaquer pour injure à magistrat.
Il n’a fallu cependant que quelques jours pour que Nicolas Sarkozy se relève de son ulcération et attaque sur sa page facebook ce paria qui a osé douter de son intégrité. Le feuilleton de cette mise en examen pour “abus de faiblesse” envers la milliardaire Liliane Bettencourt promet des lendemains qui chantent. En attendant il faut que NIcolas Sarkozy joue, comme il sait si bien le faire, des médias, mesurant les forces dans son propre camp, et ce n’est pas seulement une Nadine Morano comparant son affaire à celle d’Outreau qui le sortira de ce mauvais pas.
Tags: Henri Guaino, le juge Gentil, Liliane Bettencourt, Me Herzog, Nadine Morano, Nicolas Sarkozy
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Samedi 23 mars 2013
Ce retour à la une de tous les journaux tricolores, Nicolas Sarkozy ne l’avait peut être pas vu comme ça.
Décidément l’affaire Bettencourt n’a pas fini de mettre en examens une multitude de personnalités. Cette richissime veuve est une vraie malédiction. Il était à prévoir que l’ex président de la République cité dans cette affaire serait poursuivi après son mandat, mais personne n’y croyait vraiment. Cette mise en examen pour «abus de faiblesse» va demander aux avocats chevronné de Nicolas Sarkozy une longue bataille juridique à venir qui risque, même s’il y a présomption d’innocence, de compromettre son retour politique, même si c’est pour sauver la France et les Français. L’UMP se déchaine contre la magistrature, et traite de méchant et de fourbe Me Gentil, qui ne fait qu’appliquer à la lettre le bon déroulement du dossier, après une mise en sourdine le temps d’un mandat. La loi est implacable au moins peut on le croire et ne fait pas de quartier que l’on se nomme Sarkozy ou Tartampion. Maintenant tout se jouera lors de plaidoiries de haut vol, où certainement nous verrons gagner le meilleur peut être pas le moins coupable. En attendant le retour médiatique de l’ex Président est en berne, qui s’en réjouit le plus? Est ce ses amis de toujours ou ces ennemis de jamais qui se taisent en attendant que Cahuzac expie à son tour. La politique est l’argent fond un couple détonnant qui avant ne dérangeait pas grand monde. Maintenant c’est un moyen de calmer les appétit des plus inconscient au moins durant un certain temps.
Tags: Jérôme Cahuzac, Liliane Bettencourt, Nicolas Sarkozy
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Vendredi 25 janvier 2013
Florence Cassez emprisonnée depuis 8 décembre 2005 est enfin libre. Arrêtée en flagrant délit entièrement orchestré et mis en scène par la police en direct pour deux télévision, au terme du premier procès elle était condamnée, après trois témoignages douteux, à 96 ans d’emprisonnement pour enlèvement, association de malfaiteurs et port d’armes. Cette peine sera ramenée à 60 ans en appel. Une affaire qui était au Mexique éminemment politique. Florence Cassez était avant tout pour le gouvernement précédent un symbole de la lutte contre les cartels et la drogue. Cette libération a été possible certainement grâce à un faisceau de circonstances positives. Tout d’abord l’alternance politique des deux côtés de l’Atlantique a permis de tourner la page entre la France et le Mexique, en mettant fin au bras de fer entre les présidents Nicolas Sarkozy et Felipe Calderon qui faisait de l’affaire Cassez une affaire personnelle, soutenant son ministre de l’intérieur. Le départ à la retraite d’un des juges de la cour suprême, hostile à l’accusée fut ensuite un élément majeur. La presse qui fut en un premier à charge, a joué un rôle déterminant dans le retournement d’une partie l’opinion mexicaine. Enfin la juge Olga Sanchez Cordero, rapporteuse du dossier, s’appuyant sur les irrégularités dès l’arrestation de Florence Cassez a proposé l’annulation de toutes les charges. Le suspens fut à son comble jusqu’au terme de ce procès où trois juges sur cinq de la première chambre de la cour suprême votent pour la libération immédiate de l’accusée. Après ce véritable coup de théâtre, c’est le retour immédiat de Florence Cassez en France qui essayera maintenant de retrouver une vie normale autant que faire se peut.
Tags: Felipe Calderon, Florence Cassez, la France, le Mexique, Nicolas Sarkozy, Olga Sanchez Cordero
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Jeudi 1 novembre 2012
Couac, couac, couac, l’harmonie des médias est à l’unisson. Ils s’impatientent, ils s’ennuient, une façon de dire qu’ils n’ont plus rien à nous mettre sous la dent depuis que Trierweller est entrée dans le rang. Il est vrai que si l’on fait un petit retour en arrière, 2007 nous avait livré un hyper président, qui sautait partout et chaque matin, les médias avaient leur pâtée à digérer. Un repas entre généreux donateurs au Fouquet’s, une nuit au Carlton, une croisière sur le bateau de Boloré, un divorce et dans la foulée une idylle chez Disney suivie d’un voyage en amoureux en Egypte avec un top modèle qu’il épouse et à qui il fait un enfant… ouf. Entre temps il gouvernait de façon despotique et abreuvait la presse de projets et d’effets d’annonce à en attraper le tournis. Quant à Fillon, il pouvait errer tranquillement dans son bureau, faisant de la figuration et grimpant de ce fait dans les sondages. L’hyper Sarko parlait pour lui, décidait pour lui et pour tous les ministres qui, le petit doigt sur la couture, n’avaient qu’à répéter la parole impériale. Pour Nicolas Sarkozy, nul besoin de se justifier, c’était une affaire d’enfant d’accaparait les médias détenus par ses amis. Mais voilà maintenant, le rythme change, nous sommes au pays du gros mou à lunettes et des couac à répétition de son gouvernement. Couac, couac, couac, des ministres parlent, couac, couac, couac le premier ministre ne sait toujours pas imposer la pensée unique à ses faire valoir, couac, couac, couac on s’ennuie titre la presse hystérique. Comme il faut bien que les médias s’occupent, ils auscultent au plus près chaque intervention pour titrer: ” nouveau couac, encore un couac, toujours des couacs, harcelant sans cesse le gouvernement qui passe bien trop de temps à tenter de justifier un combat perdu d’avance et qui lamine pas à pas l’opinion publique tout aussi impatiente. Ah nostalgie quand tu nous tiens !
Tags: Boloré, couac, Fouquet's, Jean-Marc Ayrault, Nicolas Sarkozy, Valérie Trierweller
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Lundi 29 octobre 2012
Lors du débat pour les primaires de la présidence à l’UMP, François Fillon confirme que Nicolas Sarkozy dans l’affaire PSA avait demandé de “repousser son plan social” après les présidentielles. Bien entendu il joue sur les nuances, montrant il va de soi que c’était la meilleure façon d’agir et défendant l’inaction de son gouvernement, mais le fait est là. François Fillon parle de différence de la gestion du dossier PSA entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, accusant ce dernier de l’avoir mis les dirigeants du groupe Peugeot au banc des accusés comme étant “une entreprise mal gérée”. Mais là encore, si l’entreprise était si bien gérée que ça pourquoi aurait-elle demandé encore une fois de l’aide de l’Etat sous couvert de plan social. Deux politiques s’affrontent c’est une évidence, celle de Nicolas Sarkozy qui s’engage à aider Peugeot après les présidentielles en contre partie de son silence et celle du gouvernement de gauche qui hérite d’un bébé mourant et qui doit le ranimer pour ne pas décevoir ceux qui l’ont porté au pouvoir. Affaire cornélienne, mais à priori le groupe Peugeot est gagnant gagnant. Bien évidemment François Fillon a démenti avoir dit ça, quant à Xavier Bertrand alors en charge de ce dossier, il est soudain frappé d’amnésie. Y a t-il une moralité à cette affaire, en politique et en affaires tous les coups sont permis, la preuve.
Philippe Varin président directeur général de PSA
Tags: François Fillon, François Hollande, l'UMP, Nicolas Sarkozy, Peugeot, Philippe Varin, PSA
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