Lors d’une de mes revues de presse, pourquoi se priver des journaux people, actuellement les plus achetés même s’ils ne peuvent pas être considérés comme les plus rigoureux avec l’éthique journalistique, mais bon, rions aussi avec la canaille. C’est comme cela qu’un article de VSD a retenu mon attention, il titrait “Jeunes Beaux et Abrutis”. Les cibles de l’article sont simples, Justin Bieber qui ne cesse de péter les plombs sous l’emprise de substances illicites et Miley Cyrus entre autres.
Cette dernière âgée de 21 ans fut lancée par la série Disney en 2006. Mais voilà depuis et en grandissant la jeune chanteuse a bien compris que pour attirer l’attention de ses fans en concert le monde de Disney ce n’est plus franchement ça ou suffisant, évolution oblige. C’est alors que Miley est devenue le chantre d’une nouvelle génération qui électriser la pudibonderie made in USA. Clip et shows se succèdent où la jeune fille chaude comme la braises mime des masturbations et des fellations à gogo, ce qui n’est plus franchement du goût des parents qui crisent alors que les jeunes ados fans jubilent.
Il n’empêche que le look de Miley et ses tirages de langue permanents, la buste dans les hits où elle titille d’autres vieilleries comme Lady Gaga ou Madonna. Du coup sa pub est faite et ses disques se vendent comme des petits pains en pleine disette de sexe. Les bons comptes font que sa fortune est actuellement estimée à 150 000 000 $, pas mal pour une petite chipie qui tire la langue aux fâcheux. Ce n’est pas franchement du porno chic et ce type de danse suggestive n’a rien d’érotique c’est même de très mauvais goût au milieu des nounours géants tirés de l’univers Disney Land mais c’est la marque une génération qui monte qui monte et se vend bien. L’Amérique est pudibonde certes mais elle est aussi très business business, money money, alors Disney revu et visité par Miley Cyrus, why not, même si ce n’est pas ma tasse de thé.