Articles taggés avec ‘Leonardo di Caprio’

Ils sont nés ou morts un 11 novembre

Mercredi 11 novembre 2015

Leonardo Di Caprio

L’acteur, scénariste et producteur de cinéma américain Leonardo Di Caprio, est né le 11 novembre 1974 à Los Angeles

Yasser Arafat

L’homme politique palestinien Yasser Arafat est né le 24 août 1929 dans la ville du Caire en Égypte et mort le 11 novembre 2004 à Clamart en France

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Léonardo, la loose continue

Samedi 8 mars 2014

Comme chaque année à la fin février la nuit après celle des Césars a lieu la prestigieuse remise des Oscars à Los Angeles.

Comment imaginer à l’ouverture de la 86e Cérémonie  que la première fut présidée par Douglas Fairbanks le 16 mai 1929 à l’Hollywood Roosevelt Hôtel et n’avait réuni que 270 personnes.

C’est l’occasion rêvée pour le tout Hollywood de se congratuler en distribuant les précieuses statuettes aux dernières coqueluches du gotha cinématographique hollywoodien. C’est comme cela que  la toute jeune et magnifique Lupita Nyong’o, Kenyane de 31 ans,  fut la 6e femme noire à âtre sacrée par ses pères comme meilleure second rôle féminin dans 12 Years a Slave, Oscar du Meilleur film et du meilleur scénario 2014,  de Steve Mc Queen II. On se souvient encore des larmes de  Hall Berry qui en 2002 avait reçu l’Oscar de la meilleure actrice pour son magnifique jeu dans,  À l’ombre de la haine de Marc Foster. Cette année c’est une première historique que deux noirs soient oscarisés, faut-il voir par là l’effet Obama ?

Le film Gravity n’a pas tout raflé comme prévu mais a tout de même reçu 7 Oscars,dont l’Oscar du meilleur réalisateur pour Alfonso Cuarón, excusez du peu.

La sublime Cate Blanchett a remporté l’Oscar de la meilleure actrice 2014.

Quand au meilleur acteur ce ne fut pas encore une fois Leonardo di Caprio mais Matthew McConaughey pour sa prestation très acteur studio dans Dallas Buyer Club.

Décidément c’est pour Leonardo le 5e rendez-vous avec la statuette raté, la loose continue.

Ouverture du 66e festival de Cannes

Mercredi 15 mai 2013

Cette année pour la 66e édition d’un des festivals les plus prisés du monde, l’effet Spielberg a joué. C’est en effet la venue en force de la production américaine, avec pas moins de 6 films en compétition, qui va partir à l’assaut de la Palme d’Or 2013. Le cinéphile,  Steven Spielberg, présidera donc un jury prestigieux du 15 au 26 mai.

Cette année c’est Audrey Tautou qui remplacera la sublime Béatrice Béjot en tant que maîtresse de cérémonie. Elle va oeuvrer dans un des exercices les plus périlleux de l’événement et déclamant un texte qu’elle a écrit elle-même et présentera le Jury officiel et son président américain.

Le premier film visionné par un par-terre de choix sera une nouvelle version de Gatsby le Magnifique, , en 3D, d’après l’oeuvre de Francis Scott Fitz-gerald. Ce nouveau Gatsby est interprété par le talentueux Leonardo Di Caprio. Le film de Baz Luhrmann, projeté hors compétition,  a démarré sur les chapeaux de roues dorés à l’or fin, avec pas moins de 51 M$ depuis sa sortie.  Que le tapis rouge se déroule et que le spectacle soit…

J. Edgar Hoover biopic de Clint Eastwood

Mercredi 11 janvier 2012

Le dernier film de Clint Eastwood est un biopic sur la vie du très controversé J Edgar Hoover, grand patron pendant 50 ans du FBI. C’est un film à l’image de son inspirateur à la fois intelligent et ambiguë. Celui que l’on considère comme le père de la police scientifique moderne était en fait considéré comme raciste, sexiste, maniaque, menteur et manipulateur. Voilà un défi bien difficile à mettre en scène et il fallait bien entendu un réalisateur de l’envergure de Eastwood pour relever un tel défi. Il n’a du reste pas choisi de se simplifier la vie puisqu’il a pris comme acteur vedette le très talentueux Leonardo di Caprio qui a dû pour approcher au mieux la physionomie de Hoover subir un maquillage dantesque, avec prothèse, perruque lentille etc … Le Nouvel Observateur dans son article signale :” Clint Eastwood est un des tout derniers cinéastes a ne pas prendre les spectateurs pour des crétins” . Il est bien évident que ce film de 35 millions de dollars tout compris est à la dimension du réalisateur et l’on se demande qui d’autre que Eastwood pouvait réaliser et produire un tel film. Voilà qui mérite que l’on se déplace pour encourager de telles initiatives si rares dans un cinéma trop souvent trop consensuel pour ne pas dire simpliste.