Le président Idriss Déby n’a pas la mémoire courte pour tout.
Dimanche 19 octobre 2008Le président tchadien Idriss Déby semble avoir la mémoire courte en ce qui concerne sa position face au coup d’Etat qui manqua de le renverser en février dernier, sauvé in extrémiste par la cavalerie française alors qu’il résistait encerclé dans son palais sous son bureau.
Par contre il ne perd pas le Nord question gros sous, réclamant à l’Etat français la coquette somme de 6,3 millions d’euros à titre de dommages et intérêts que les six français de l’Arche de Zoé sont condamnés à verser aux familles.
Il suffit, la coupe est pleine et les poches sont vides. Comme le dirait très bien Christine Lagarde ” cette nouvelle” n’arrive pas ” au meilleur moment”. L’Etat a d’autres caisses à renflouer.