Samedi 12 janvier 2013
La fin de l’année 2012 fut placée sur le retrait anticipé de nos soldats sur le front Afghan le début de l’année 2013 est celui de l’ouverture d’un nouveau front , le Mali. Il est bien évident que depuis déjà des mois ce sujet était d’actualité, puisqu’il y avait une résolution de l’ONU sur le Mali fin décembre et un contingent des pays de l’Afrique de l’Ouest (cédéao) devrait intervenir. Il semble que tout à coup les événements se soient précipités. Face à une armée malienne en difficulté, le président Traoré a demandé à la France d’intervenir pour éviter l’envahissement du sud de son pays par les djihadistes qui profitant des atermoiements des structures officielles avaient déclenché une’attaque. Il semble que pour l’instant la décision de François Hollande d’intervenir au Mali face politiquement le consensus. Si pour l’instant cette guerre est bien française, sous couvert du conseil de sécurité des Nations Unis, des corps constitués africains ou européen, Paris demande à ce que les forces internationales soient mobilisées au plus vite. Dès à présent les États-Unis envisage d’appuyer la France avec des drones. D’un front à l’autre la guerre contre le terrorisme reste plus que jamais d’actualité.
Tags: cédéao, conseil de sécurité des Nations Unis, l'ONU, la France, le Mali, le président malien Traoré, les djihadistes, les États-Unis
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Dimanche 25 mars 2012
L’Afrique, c’est toujours chaud bouillant et il est rare qu’il n’y ait pas, un coup d’Etat une élection qui tourne à la rivalité. C’est actuellement le cas au Mali où le Président Amadou Toumani Touré vient d’être renversé jeudi par un coup de force de militaires sous le commandement du capitaine Amadou Sango. A seulement cinq semaines des élections présidentielles, voilà une manière de se substituer par la force à l’ordre démocratique programmé. Actuellement au Mali il est bien difficile de connaître la véritable situation politique et la France craint que la junte s’en prenne à l’intégrité physique du président Touré qu’il est impossible de joindre. C’est actuellement un tissu de données contradictoires qui nous parviennent de Bamako qui a subit des pillages et des saccages des militaires mutins. La condamnation de ce coup de force par la communauté internationale est quasi générale et cette dernière demande le retour à l’Etat de droit et l’ordre constitutionnel.
Tags: Bamako, coup d'Etat, e Président Amadou Toumani Touré, le capitaine Amadou Sango, le Mali
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