La pauvre…
Dimanche 26 janvier 2014François Hollande tire le premier en annonçant «la fin de sa vie commune» avec Valérie Trierweiler et cette dernière depuis la résidence de la Lanterne où elle est toujours avant de s’envoler vers d’autres horizons, réagit sur Twitter une de ses spécialités.
Pièces à conviction, versée au dossier Hollande Trierweiler
Il a déclaré en décrochant son téléphone à l’AFP : «Je fais savoir que j’ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler.»
Réaction Twittée de
Valerie Trierweiler ✔ @valtrier
Toute ma gratitude va à l’extraordinaire personnel de l’Elysée. Je n’oublierai jamais son dévouement ni l’émotion au moment du départ.
10:19 PM – 25 Janv 2014
fin de citations.
Tout cela est laconique et promet des lendemains médiatiques houleux. Mais pour l’instant, celui que l’on ne cesse depuis le début de sa mandature de traiter de « gros mou », est à ce jour taxé de « trop dur » et l’on larmoie tel le crocodile normal sur celle qu’hier on avait gentiment jeté en pâture à ces charmants animaux quelques peu préhistoriques. Laconique, l’homme Hollande et non le Président, envoie un communiqué à l’AFP, sifflant,en quelque sorte, la fin de la récréation et des franches rigolades organisées sur cette situation polico-vaudevillesque au dépend d’un monsieur tout le monde qui est devenu un président de la République normal. En fait François Hollande a limogé sa compagne de 8 ans d’âge qui avait eu tant de mal à devenir firts lady et qui s’accrochait semble-t-il un peu trop à son fauteuil élyséen. Avouez qu’en tant que Limousin, c’est un comble de voir un tulliste limoger sa compagne ! Mais bon il ne met pas la mode au village élyséen, en son temps Nicolas Sarkozy s’était retrouvé plaqué et donc célibataire, par celle qui est devenue depuis Cécilia Attias. Il ne me semble pas si j’ai bonne mémoire qu’à l’époque on en ait fait six caisses. Nous vivons, à l’évidence, une médiatisation exacerbée et un mélange des genres entre la vie publique et privée des présidents de la République des coqs français qui est assez détestable, mais bon nous sommes Frenchies jusqu’à la pointe de nos ergots et au plus haut sommet de l’État on l’assume fort bien semble-t-il.