Riri en mai fait ce qui lui plait
Riri en mai fait ce qui lui plait et ce dont elle raffole c’est que’ l’on parle d’elle. En faisant la couverture de Lui ça n’a pas raté, même si ce journal sur la planète terre ne représente moins que quelque chose. Pour Rihanna c’est un épi phénomène contrairement au journal Lui qui compte sur la renommée de la chanteuse pour booster ses ventes après avoir fait un coup avec la brindille au mois de mars dernier ( voir en cliquant ici)
Dans ce numéro de mars, il était question d’ un couple, Kate Moss certes mais aussi le fameux et sulfureux Terry Ridcharson, qui propose à ses mannequins un shooting contre un coup, et ne cesse de faire la une des journaux à scandales.
Pour ce 7e numéro, Rihanna fut photographiée par l’ex mannequin Mario Sorrenti, napolitain vivant à New York, qui comme par hasard , a lancé sa carrière en photographiant Kate Moss, dont il est proche, pour la célèbre marque Calvin Klein. Une chose est certaine, ce fils de peintre a su exploiter au mieux le fait que la jeune Barbade ne bronze pas toujours nue comme ses fans l’imaginent. Il a intégré ce zébrage au sein d’une composition très crazy dans un superbe cliché qui du reste fut bien moins exploité par les médias que celui où on la voit “les fesses en l’air” pour reprendre la formule de Dutronc. On découvre une Rihanna paisible, sexy, très différente, pour ne pas dire méconnaissable, bien loin de’image qu’elle ne cesse d’imprimer habituellement pour attirer l’attention. Dans le bref texte livré avec les clichés, on apprend que l’équipe fut très étonnée de trouver non la Badgalriri attendue, mais une fille “souriante, humble, bienveillante et parfois pudique”, une sorte de “bonbon sucré”, très pro, qui se prêta de bonne grâce à un shooting de près de 8h. Franchement tout fout le camp!
Tags: Calvin Klein, Kate Moss, la Badgalriri, le magazine Lui, Mario Sorrenti, New York, Rihanna, Terry Ridcharson