Rachida Dati en disgrâce
Celle qui, tout sourire, gravissait en Chanel ou Dior quatre à quatre les marches de la célébrité politique, au grand dam de beaucoup, dégringole dans le hit parade des favoris. Voilà que le temps passe et son heure avec. Cette nouvelle venue avait pourtant les dents longues et les faveurs de l’Élysée, rien ne semblait pouvoir lui résister. Elle a même fait partie un temps du G7, sorte de garde rapprochée politique du président de la République. Après un vent de réformes, une fronde de magistrats, s’ensuit la perte de son poste de ministre et son exil à Strasbourg. Rien ne va plus pour notre Rachida bling bling qui dégringole de son piédestal à la vitesse grand V. La voilà à terre qui crie à la calomnie quand on lui prête la maternité de quelques ragots sur le couple présidentiel. L’heure est à la lapidation en règle orchestrée sournoisement par médias interposés. A la cour de Nicolas Sarkozy le ridicule ne tue pas encore mais amoche pas mal, Rachida pourra certainement en parler, mieux que personne. A l’heure de la parité et de l’ouverture sarkozienne, être une femme souriante issue de l’immigration était un gage de réussite, mais avec le temps va tout s’en va, y compris Rachida. A quand le tour de Fadela ?
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