Luc Châtel, un ministre qui a déjà un zéro pointé en orthographe
En tant que ministre de l’éducation, le moins qu’il puisse faire c’est d’avoir un secrétariat qui relise correctement sa copie avant de l’envoyer. Le passe-temps favori des enseignants est de relever les fautes dans les circulaires, surtout si elles sont ministérielles et demandent sur un ton péremptoire l’exemplarité aux OS de l’éducation et ont pour eux la tolérance zéro. L’éducation, qui n’est déjà plus nationale, perd de jour en jour un peu plus de sa crédibilité, le tout savamment orchestré par la hiérarchie qui ne sait même pas les rudiments du métiers et ignore que la bataille orthographique est perdue depuis déjà bien longtemps. De toute façon, tout le monde s’en fout car bientôt on parlera et pratiquera l’anglais alors ! Le ministre des nuls est nul lui aussi cela est dans l’ordre des choses. Etre nul en orthographe n’empêche pas de régner, comme Charlemagne ou Napoléon, mais ils avaient au moins l’intelligence de s’entourer de conseillers éclairés en la matière. Je conseille donc à Luc Châtel de nommer un immortel qui se fera un plaisir de jouer le rôle de correcteur orthographique rue de Grenelle.
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