L’écureuil en prend un coup dans les noisettes.
Question gros sous il devient délicat d’écrire des billets d’humeur, que vaudront-ils demain?
Question fou rire c’est la faillite assurée. Il ne nous reste plus qu’à pleurer sur notre bas de laine si tenté qu’il puisse assurer une retraite qui joue les mirages. “Ma cassette ! où est ma cassette ?” crierait Arpagon. Les traders sont partout et font n’importe quoi, on nous a cloné Jérôme Kerviel dans la nuit. Comment ne pas être atterré quand même la Prévoyance n’y est plus, l’écureuil en personne nous fait faux bond. Nos banquiers les uns après les autres disjonctent. Pourtant on nous assure que tout va bien dans le meilleur des mondes et que les salaires ont été doublés, mais seulement à l’Élysée.
Plus question de se faire du mouron, de toute façon les jeux sont faits rien ne va plus la banque a sauté. Chaque matin on nous livre en pâture un nouveau “limogé”, du reste le terme redevient à la mode. Merci gardez les, à Limoges la cour est pleine. Les grands argentiers de la planète virtuelle à force de jouer au “Monopoly” pensent que nos billets sont faux, pour de vrai, “la vérité si je mens” ! Le canard, enchainé ou pas avait bien pris l’écureuil la main tendu criant famine à une autre banque sa voisine.
Laissons le mot de la fin à notre sinistre ministre de l’économie, Christine Lagarde qui s”est déclarée “particulièrement frustrée et découragée ” cette nouvelle, qui n’arrive pas “au meilleur moment” , c’est le moins qu’elle puisse dire.
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21 octobre 2008 à 14:24
Où quand Lagarde erre