IanouKovitch t’es foutu, les enfants meurent dans la rue…
L’Ukraine à l’instar de la Syrie est un pays où l’on tire d’abord et où on s’explique éventuellement mais pas toujours, et en tout cas on est pas pressé de le faire. La loi la plus communément admise est celle des se taire. Cet Omertà slave sur les exactions d’un pouvoir autoritaire et sous influence est en train de voler en morceau au grand dam d’un Poutine distant et muet qui voit d’un très mauvais oeil cette incursion européenne ou occidentale dans ses affaires.
Pour Vladimir Poutine l’Ukraine est un bastion protecteur contre l’envahissement nauséabond de folles idées démocratiques, un rempart encore hier contre ses propres démons contestataires. Il reste muet, Sotchi n’étant pas fini, et sortira certainement de son chapeau, après maintes supplications, tergiversations, la tête de sa marionnette qui aura jusqu’à la fin massacré à tous vents son peuple fier et déterminé, pour l’exemple. Il médite un coup à la Poutine comme pour la Syrie ou l’Iran…
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