Alain Roche Nalair de rien

Dès la 5e minute Wikilson débloque le score, mais cet avantage n’est que déjeuner de soleil puisque son homologue irlandais égalise 3 minutes après.Pour l’instant c’est un duel de buteur puisqu’à la 18 e minute le buteur toulonnais redonne l’avantage à son équipe. Les irlandais sont beaucoup pénalisés, Wilkilson cependant rate la 3e pénalité à la 24e min mais passe la suivante à la 26e. qui rerègle la mire. Mais le chassez croiser continue et le irlandais revienne rapidement à  9 à 6. Wilkinson avec une grande classe passe un drop et les toulonnais conservent leur avantage de 6 points, juste avant la mi=temps. C’était sans compter sans l’ouvreur irlandais qui réduit à nouveau le score, 12 à 9. Les sanctions se suivent et voilà déjà la 7e pénalité que Wilkinson passe comme à la parade. Juste avant la mi-temps les irlandais écopent d’une nouvelle pénalité que Wilkinson confie à Delon Armitage qui la transforme.

Mannix entraineur des avants du Munster et futur manager palois la saison prochaine a déclaré : ”En finale, je mets mon chapeau français”

Wilkinson fut encore une fois la cheville ouvrière de cette victoire avec 21 points sur 24

Le Munster avait éliminé Toulouse en quart de finale et il s’agissait d’avoir une ligne de défense béton, la moindre erreur et c’était perdre l’avantage qui fut tout une partie de la seconde mi-temps ténu puisque seulement de 2 petits points. Du reste le seul essai fut Irlandais, et cette équipe du Munster s’est battu et a mis la pression en permanence et jusqu’à la dernière pénalité encore une fois réussie pas l’inoxydable Jonny qui fut le boss de cette équipe du RCT. Pour leur 3e participation à la H cup se retrouver deux fois en finale et tenant du titre, c’est une véritable prouesse.

C’est la joie dans le camp du RCT qui n’a jamais cessé d’y croire, on voit ici Habana congratuler son ami Bastareaud qui comme à l’accoutumée fit une partie exceptionnelle. Cette année encore le finale de la H Cup, qui aura lieu le samedi 24 mai au Millennium Stadium, sera particulièrement relevée face à une équipe de Saracens qui n’a fait qu’une bouchée de Clermont (46 à 6). Du beau rugby en perspective!

Contre toute attente et au terme d’une course folle, c’est le néerlandais Niki Terpstra, 29 ans, qui emporte la 112 e édition de la mythique course Paris-Roubaix. Il faut dire que ce jeune coureur avait déjà fini 5e en 2012 et 3e en 2013. Cette fois-ci et avec beaucoup de subtilité il a pu enfin brandir le pavé dépassant de la tête les autres.  Patrick Lefevere a déclaré au terme de la course :”Niki est en constante progression, surtout dans l’intelligence de la course, il a la classe…” L’enfer du Nord le fut bien pour Tom Boonen son malheureux coéquipier de l’équipe Oméga Pharma Quick Sep, qui n’a fini que 10 e et pestait en disant : “Je suis en colère. Bradley Wiggins finira 9e même s’il est moins déçu que Tom de sa performance.

Il faut remonter à 2001 pour voir, Servais Knaven, un autre néerlandais remporter l’épreuve reine avant le Tour. Il faut dire que c’est dans un train d’enfer que Niki a parcouru les 257 km en 6h 9 ‘ 1 ” à la moyenne de 41, 787 km/h. C’est bien entendu une victoire d’équipe et le manager conclue : “Ce n’est pas le plus fort qui a gagné, mais le plus malin. “En effet Niki Terpstra peut se tarder d’avoir jeté un véritable pavé dans la mare des leaders qui firent toute la course pour se faire dépouiller à terme de la victoire. Cette leçon valait bien un pavé sans doute…

De retour de Melbourne où il est allé s’entraîner près de 6 mois c’est un nouveau Lacourt qui gagne qui nous revient. Il précède Stravius sur 100 m même si c’est sans briller.Du reste il avoue : “J’étais venu ici pour gagner et avoir mon ticket pour Berlin et nager vite. J’en ai deux sur trois, c’est déjà pas mal. L’essentiel est fait”.Camille a signé le meilleur chrono de l’année sur 50 m dos (24″37), la distance sur laquelle il est champion du monde en titre.

Une nouvelle fois le quadruple champion des mondiaux 2013 se retrouve être le dauphin de Camille Lacourt même si ce dernier estime avoir “nagé intelligemment pour faire une belle course”.

Bien évidemment toutes ces stars sont venus chercher en priorité la qualification pour l’euro de Berlin.

Le champion du monde en titre sur 200 m libre signe et persiste lors des ces championnats de France à Chartres et couvre la distanceen 1’45″63. Yannick réalise un magnifique doublé après s’être imposé mardi sur 400 m.

C’est aussi le grand retout de Camille Muffat sacrée championne de France du 100 m et bien évidemment qualifiée pour Berlin du 18 au 24 août prochain.

Mais la championne ne s’est pas seulement satisfaite de cela, elle a tout même signé meilleur chrono de l’année sur 50 m dos (24.37)

Pour les cracks français tout baigne à Chartres et nous les attendons avec impatience pour voir s’ils concrétisent à Berlin leurs performances du jour.

Après un début difficile pour les Irlandais Sexton fait basculer le mach. Même s’il ne transforme pas  c’est Trimble qui marque le deuxième essai et met la pression sur les tricolores qui sont menés 12 à 6 et très vite tout bascule pour les tricolores qui sont menés et doivent réagir rapidement.

La réaction ne se fait pas attendre et l’essai de fabrique Hulin  sur un belle passe de Huget et les français reprennent l’avantage à la marque 13 à 12.

Il y a le feu dans le camp bleu depuis le début de la seconde période. Sexton se permet de faire un doublé dans ce match qui aplati  entre les perche ce qui facilite la transformation. Les irlandais reprennent l’avantage 19 à 13. Les français ont du mal à digérer l’affaire, et se font pénaliser et Jonathan Sexton transforme et les Irlandais font le break 22 à 13. Les chants irlandais retentissent dans les tribunes.

Essai de Dimitri Szarzewskii après une bataille sanglante, les français reviennent à la marque 22 à 20.

Dans les dix dernières minutes, les français mettent une pression énorme sur les verts et prennent l’ascendant physiquement sur les irlandais qui sont baladés.

Mais l’Irlande tient bon la charge et finalement remportent le tournoi des 6 nations 2014 et succèdent aux gallois qui ont livré un dernier match de feu contre des écossais punis par 7 essais, 50 à 3.

Brian O’driscol, la légende du rugby irlandais qui s’était révélé au parc des princes  peut prendre un retraite bien méritée, voilà un magnifique final. On peut dire que pour lui avec cette ultime victoire, la boucle est bouclée de la meilleure façon qu’il soit.

Après dix pipis d’angoisse elle s’élance  et plane vers la médaille de bronze dans un discipline qui vient d’apparaitre au JO, le saut à Ski féminin. “Les jeux c’était l’objectif”, lance-t-elle avec un large sourire qui découvre les dents du bonheur. Ce diastème sciait à ravir à cette jeune Céline Mattel qui du haut de ses 18 ans survole l’équipe  de saut à ski féminin, comme quoi la valeur n’attend pas le nombre des années.  Du haut de son 1,65 m  cette gaillarde pleine de vitalité a aussi la tête bien faite puis qu’elle a eu son bac C avec la mention très bien. Gaillard le technicien  du groupe  la définit ainsi :” C’est vrai qu’elle a un gros caractère mais un bon caractère, un gros mental.”

Chapeau Coline parce qu’actuellement les médailles on les cherche à Sotchi  même si Fourcade vient de réaliser un doubler en Or, nous en sommes pour l’instant qu’à 4 médailles, c’est bien peu

Sotchi, tout le monde s’en fout sauf les mordus et les athlètes il va de soit. Les vieux râlent et vieilles pestent parce que sur France 2 ou France 3 on ne voit plus que ça. Les autres bossent donc on d’autres chats à fouetter. Quant aux jeunes ils sont dans leur bulle avec des jeux idiots ou pas toute la journée s’envoyant sans discontinuer des SMS d’amour en préparant la ST Valentin. Donc la fenêtre de tir est courte, en plus les français passaient devant la glace et ne gagnaient rien. Ouf “merci Aspro ” comme disait la but, Fourcade est en or enfin et son poteau truc machin en bronze. On l’a échappé belle  et l’on est encore loin des 13 médailles minimum escomptées…mais bon ça vient petit à petit nos athlète font leur lit, parce qu’à Sotchi tout n’est pas encore terminé, loin s’en faut. Mais au fait c’est qui Fourcade ?

Wesley Fofana

Que du plaisir en ce dimanche pluvieux en regardant une équipe du XV de France qui nous donne envie de regarder du rugby et de vibrer avec nos tricolores. Dès les premières images, c’est fabuleux de sentir à l’instar des Italiens une équipe de France soudée qui chante d’une même voix la Marseillaise. Sans être archi conservateur c’est tellement différent des footeux qui durant la Marseillaise baillent ou font la gueule comme s’ils étaient Papou. Malgré un début calamiteux où Doussain cherche en  vain l’espace entre poteaux on sent les tricolores ultra déterminés qui ne veulent en découdre avec leurs tombeurs de l’an dernier. C’est seulement à la 27e minute que le XV débloque le compteur, égalisé par des Italiens vigilants dans la foulée. Quand tout à coup le match chavire seulement en 10 minutes. A la 43e Wesley Fofana aplatit dans l’en-but “rital”, à la 45e Huget récidive et à la 51e c’est au tour de Bonneval au terme d’une folle chevauchée. La messe est dite 30 à 3, c’est l’humiliation. La fin du match très tendue se conclue sur une volée de marrons et deux cartons rouges. Sursaut d’orgueil, le XV de la botte sauve l’honneur bafoué, alors qu’ils n’avaient pas démérité, mais ce dimanche 9 février ils avaient affronté une équipe de France qui jouait au rugby avec force et plaisir. Terminons par une citation de celui qui a marqué le premier essai, Wesley Fofana qui a déclaré : “On se trouve de mieux en mieux. Chacun sait où il doit aller. Il reste juste des détails à régler, mais je sais que ça viendra.” S’ils continue dans cette veine on n’en doute même pas.

Pour Pépette c’est fini et son désespoir fait de pleurs et de bosse était au niveau de sa prouesse, être sélectionnée pour concourir aux jeux olympiques de Sotchi à seulement  15 ans. Pépette ce n’est autre que Perrine Laffont la benjamine et la seule fille de notre équipe tricolore de ski de bosses. Au terme de la compétition elle ne prend que la 14e place mais quelle aventure! L’avantage c’est qu’aux prochain JO la bougresse n’aura que 19 ans. En attendant après cette fabuleuse expérience elle va réintégrer sagement sa classe de seconde où elle brillera de mille feux aux yeux de son entourage. Il est certain que Pépette n’a pas encore dit son dernier mot, alors rendez-vous en 2018 pour les XXIIIes Jeux olympiques d’hiver qui seront célébrés à Pyeongchang en Corée du Sud.

Le président Irlandais Michael D. Higgins passe ses troupes en revue

Deuxième succès consécutif pour les Irlandais dans ce tournoi ds 6 nations. La domination a été totale et de bout en bout contre des gallois qui n’ont pu que subir. C’est une véritable fessée à Dublin pour les tenant du titre qui devront réagir au plus vite s’il ne veulent stopper l’hémorragie.

Packy Jackson qui remplace le phénomène Jonathan Sexton, marque un essai et le transforme. C’est l’humiliation pour les gallois qui sont battus de la meilleure manière qui soit. Les Irlandais balaient les Gallois et réalisent un début de tournoi idéal.

Alexandre Lacazette dès la 16e minute justifie la domination du début du match Troyes Lyon. Comme d’habitude, Bafétimbi Gomis dit la panthère, ne cesse de rôder et finit par inscrire le deuxième but à la 27e. Lyon vient de créer le break, et commence à souffler un peu. Mais c’était sans compter la ténacité des joueurs de l’Estac qui deviennent de plus en plus dangereux. C’est alors que Xavier Thiago Rodrigues, le brésilien de Troyes, trouve la route des filets et réduit la pression tout en ravivant l’espoir de ses supporters noyés dans les 20 000 spectateurs présents. A nouveau tout est possible, l’inquiétude gagne petit à petit le banc rhodanien. Mais Lyon maîtrisera jusqu’au bout face à des adversaires qui ne lâchent rien jusqu’à la dernière minute. Au terme de la partie, Rémi Garde déclare avec beaucoup d’humilité que Lyon sera « le Petit Poucet » face à l’ogre parisien, pour la finale 19 avril prochain qui promet du lourd.

Le président du club rhodanien interrogé au terme du match, ne cache pas sa joie et sa satisfaction de jouer face au PSG pour cette finale qui promet un beau spectacle.