Jenifer, la pleureuse de The Voice
Jenifer surnommée autrefois la « petite sœur des français » est partout, tous les médias se l’arrachent. Ce sont des interviews calquées, sorte de mise en fanfare de son retour sur TF1, après une lente et sure descente aux enfers, revers sans merci du star System. Emaner de la Start d’académy n’est pas ce qui est de plus académique dans le milieu, et vaut à ses élus, festons d’ironies et de quolibets. Difficile dans ces cas là de ne pas craquer, ce qu’elle fit du reste de la meilleure manière qu’il soit. Pourtant cette petite poupée de cire poupée de son, que l’on compare aisément à France Galle, nous revient sûre d’elle et de ses choix, clame-t-elle, heureuse de cette bonne fessée de la vie . Seule femme dans le jury de l’émission télé-crochet The Voice, en vogue sur TF1, elle reste pourtant un tendron face à Bertignac, Pagny et au loup garou. Ce petit chaperon rouge de 30 ans a très peur des caméras et cela se voit quand, tel un cyclope qui joue de la mèche rebelle et calculée, elle regarde, de son œil noir et humide, Sonia son double qui la bouleverse. Elle en fait trop, lance-t-on, certainement une manière de masquer le doute, de braver la critique qui ricane encore du flop de son dernier album, Appelle moi Jen. Imaginez vous elle aurait osé tout dire. Mais messieurs, chez ces gens là, ça ne se fait pas …